L'Irlandais que nous avions avant était un fou de baignade : lui, c'était impossible de le faire sortir de l'eau, il nageait autour du bateau, quasiment au ralenti, avec une puissance impressionnante. Pas pour rien que les setters ont les pattes palmées !
Ce qui était pénible, c'était qu'il se la jouait Sauveteur : il ne supportait pas que je sois dans l'eau sans lui et voulait à toute force me ramener au bateau. On y passait des heures : je plongeais, il s'élançait derrière moi, puis je m'accrochais d'une main au poil de son dos et il me ramenait.
Tosca me paraît moins intrépide, ça doit aussi tenir à son caractère : elle est un peu plus pétocharde, moins aventureuse, moins contestataire aussi... On va voir si ça évolue, elle est encore jeune : 10 mois hier, profitons du jour présent !