J'ai entendu hier pas mal de commentaires sur les dangers de contamination par les migrateurs infectés par la grippe aviaire.
Il y a un flou scientifique , les lobbies gouvernementaux sont en alerte, mais peu d'infos sérieuses...
Peu d'infos par la presse, les fédés de chasse s'en inquiètent quand même.
Si vous avez des commentaires ou des articles concernant ce sujet je suis interressée par les articles s'y rapportant
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Migrateurs et grippe aviaire
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Voici le décret de ce matin au JO qui ne dit pas grand chose si ce n'est que le gouvernement se mobilise pour la surveillance:
mais on n'est pas plus avançés:
------------------------------------------------------------------
J.O n° 202 du 31 août 2005 page 14081 texte n° 2
Décrets, arrêtés, circulaires
Textes généraux
Premier ministre
Décret n° 2005-1057 du 30 août 2005 instituant un délégué interministériel à la lutte contre la grippe aviaire
NOR: PRMX0500225D
Le Premier ministre, Vu l’article 37 de la Constitution, Décrète :
Article 1
Le délégué interministériel à la lutte contre la grippe aviaire est placé auprès du Premier ministre.
Il coordonne l’action de l’Etat contre un risque de pandémie de grippe d’origine aviaire et suit la mise en oeuvre des mesures décidées dans le cadre du plan de lutte contre ce risque.
Il veille en particulier à l’adaptation et à la mise en oeuvre des mesures destinées à restreindre la propagation de l’épizootie de grippe aviaire, à prévenir une pandémie et, le cas échéant, à traiter la maladie.
Il veille au développement de la coopération internationale en ce domaine et à la cohérence entre l’action de l’Etat, d’une part, et celle des organisations internationales, des organisations non gouvernementales, des collectivités territoriales et des entreprises, d’autre part.
Il rend compte de ses travaux au Premier ministre et aux ministres chargés de l’agriculture et de la santé, chacun pour ce qui le concerne.
Article 2
Le délégué interministériel à la lutte contre la grippe aviaire dispose, pour l’accomplissement de sa mission, du concours du ministère des affaires étrangères, du ministère de la défense et des ministères chargés de l’agriculture, de la consommation, de l’environnement, de l’industrie, de l’intérieur, de l’outre-mer, de la santé et des transports, ainsi que du secrétaire général de la défense nationale et du service d’information du Gouvernement.
Ses moyens de fonctionnement sont pris en charge par le ministère chargé de la santé.
Article 3
Le ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de l’aménagement du territoire, la ministre de la défense, le ministre des affaires étrangères, le ministre de l’économie, des finances et de l’industrie, le ministre des transports, de l’équipement, du tourisme et de la mer, le ministre de la santé et des solidarités, le ministre de l’agriculture et de la pêche, la ministre de l’écologie et du développement durable et le ministre de l’outre-mer sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 30 août 2005.
Par le Premier ministre :
Dominique de Villepin
Nicolas Sarkozy Le ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de l’aménagement du territoire,
Michèle Alliot-Marie La ministre de la défense,
Philippe Douste-Blazy Le ministre des affaires étrangères,
Thierry Breton Le ministre de l’économie, des finances et de l’industrie,
Dominique Perben Le ministre des transports, de l’équipement, du tourisme et de la mer,
Xavier Bertrand Le ministre de la santé et des solidarités,
Dominique Bussereau Le ministre de l’agriculture et de la pêche,
Nelly Olin La ministre de l’écologie et du développement durable,
François Baroin Le ministre de l’outre-mer
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mais on n'est pas plus avançés:
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J.O n° 202 du 31 août 2005 page 14081 texte n° 2
Décrets, arrêtés, circulaires
Textes généraux
Premier ministre
Décret n° 2005-1057 du 30 août 2005 instituant un délégué interministériel à la lutte contre la grippe aviaire
NOR: PRMX0500225D
Le Premier ministre, Vu l’article 37 de la Constitution, Décrète :
Article 1
Le délégué interministériel à la lutte contre la grippe aviaire est placé auprès du Premier ministre.
Il coordonne l’action de l’Etat contre un risque de pandémie de grippe d’origine aviaire et suit la mise en oeuvre des mesures décidées dans le cadre du plan de lutte contre ce risque.
Il veille en particulier à l’adaptation et à la mise en oeuvre des mesures destinées à restreindre la propagation de l’épizootie de grippe aviaire, à prévenir une pandémie et, le cas échéant, à traiter la maladie.
Il veille au développement de la coopération internationale en ce domaine et à la cohérence entre l’action de l’Etat, d’une part, et celle des organisations internationales, des organisations non gouvernementales, des collectivités territoriales et des entreprises, d’autre part.
Il rend compte de ses travaux au Premier ministre et aux ministres chargés de l’agriculture et de la santé, chacun pour ce qui le concerne.
Article 2
Le délégué interministériel à la lutte contre la grippe aviaire dispose, pour l’accomplissement de sa mission, du concours du ministère des affaires étrangères, du ministère de la défense et des ministères chargés de l’agriculture, de la consommation, de l’environnement, de l’industrie, de l’intérieur, de l’outre-mer, de la santé et des transports, ainsi que du secrétaire général de la défense nationale et du service d’information du Gouvernement.
Ses moyens de fonctionnement sont pris en charge par le ministère chargé de la santé.
Article 3
Le ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de l’aménagement du territoire, la ministre de la défense, le ministre des affaires étrangères, le ministre de l’économie, des finances et de l’industrie, le ministre des transports, de l’équipement, du tourisme et de la mer, le ministre de la santé et des solidarités, le ministre de l’agriculture et de la pêche, la ministre de l’écologie et du développement durable et le ministre de l’outre-mer sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 30 août 2005.
Par le Premier ministre :
Dominique de Villepin
Nicolas Sarkozy Le ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de l’aménagement du territoire,
Michèle Alliot-Marie La ministre de la défense,
Philippe Douste-Blazy Le ministre des affaires étrangères,
Thierry Breton Le ministre de l’économie, des finances et de l’industrie,
Dominique Perben Le ministre des transports, de l’équipement, du tourisme et de la mer,
Xavier Bertrand Le ministre de la santé et des solidarités,
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suite des liens
à lire ... avec interêt
paru aujourd'hui à 12h:
http://www.fao.org/newsroom/fr/news/2005/107405/
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Interwiew de Pierre Verdet dans Sud Ouest aujourd'hui:
Les canards sauvages peuvent véhiculer le virus : Pierre Verdet
« Oui, les oiseaux migrateurs, notamment les canards sauvages, peuvent amener ce virus jusque chez nous, affirme Claude Feigné, ornithologue du Parc naturel régional des Landes de Gascogne. La maladie étant en train de gagner du terrain vers l'ouest de la Russie, des oiseaux empruntant le couloir migratoire d'Europe de l'Ouest, donc celui qui concerne la France et notre région, peuvent être porteurs du virus. Même si la maladie ne frappait qu'au Kazakhstan et à l'est de la Sibérie, le risque existerait puisque des canards actuellement dans ces zones, en particulier des pilets, vont descendre vers le Tchad, en Afrique, pour y hiverner, et y rencontreront des canards arrivés, eux, par le couloir occidental et qui remonteront vers le nord en février, via nos plans d'eau. »
« Outre les canards sauvages, je pense également que des étourneaux arrivant de Russie peuvent présenter un danger. En effet, ils vivent en bandes et fréquentent les zones d'élevage. Certes, les oiseaux contaminés meurent très vite, en trois à cinq jours, mais le virus peut être transmis comme un relais par différents individus », précise Claude Feigné.
Dans une mare. Un point de vue partagé par Michel Gauthier-Clerc, vétérinaire à la station biologique de la Tour du Valat, en Camargue, travaillant depuis un an sur la grippe aviaire. « Le fait que les oiseaux contaminés meurent rapidement limite le risque mais ne l'écarte pas définitivement, confirme-t-il. Il est donc envisageable que des canards sauvages amènent ce virus jusqu'à nous. Il faut savoir que les anatidés (canards et oies) ont une physiologie particulièrement propice à l'amplification du virus et que le canard colvert que l'on rencontre fréquemment sur nos étangs, soit à l'état sauvage, soit comme canard domestique ou appelant pour la chasse, est un très bon candidat à cette souche de grippe aviaire. Il suffit qu'un canard malade en migration lâche des fientes dans une mare pour que les autres canards s'y trouvant risquent d'être contaminés. Ce qui explique que l'Afssa recommande aux chasseurs de ne pas ramener leurs appelants dans des poulaillers au retour du marais. »
Chasseurs partenaires. Ainsi, à la station biologique de la Tour du Valat, on va capturer des canards en migration pour prélever dans leur cloaque des échantillons qui seront transmis à l'Institut Pasteur pour analyse afin de déceler immédiatement si un sujet est porteur de la souche H5N1 sévissant en Russie et dans le Sud-Est asiatique.
Aux Pays-Bas, où 25 millions d'oiseaux d'élevage avaient été tués par une épidémie de grippe aviaire en 2003, il a déjà été décidé de faire rentrer les 6 millions de volailles élevées en plein air pendant la période des migrations.
En France, le mouvement CPNT propose, lui, une méthode plus radicale de surveillance. « La chasse, par ses prélèvements, pourrait dès demain servir d'élément de veille sanitaire, car les chasseurs sont volontaires pour être des partenaires responsables face à ce risque majeur. Il faut mettre en place un programme de collecte d'oiseaux et négocier une chasse jusqu'à la fin février pour un principe de précaution », affirme CPNT dans un communiqué. Ce, bien sûr, « afin d'apporter aux scientifiques les données nécessaires pour lutter contre ce risque d'épizootie ».
Les canards sauvages peuvent véhiculer le virus : Pierre Verdet
« Oui, les oiseaux migrateurs, notamment les canards sauvages, peuvent amener ce virus jusque chez nous, affirme Claude Feigné, ornithologue du Parc naturel régional des Landes de Gascogne. La maladie étant en train de gagner du terrain vers l'ouest de la Russie, des oiseaux empruntant le couloir migratoire d'Europe de l'Ouest, donc celui qui concerne la France et notre région, peuvent être porteurs du virus. Même si la maladie ne frappait qu'au Kazakhstan et à l'est de la Sibérie, le risque existerait puisque des canards actuellement dans ces zones, en particulier des pilets, vont descendre vers le Tchad, en Afrique, pour y hiverner, et y rencontreront des canards arrivés, eux, par le couloir occidental et qui remonteront vers le nord en février, via nos plans d'eau. »
« Outre les canards sauvages, je pense également que des étourneaux arrivant de Russie peuvent présenter un danger. En effet, ils vivent en bandes et fréquentent les zones d'élevage. Certes, les oiseaux contaminés meurent très vite, en trois à cinq jours, mais le virus peut être transmis comme un relais par différents individus », précise Claude Feigné.
Dans une mare. Un point de vue partagé par Michel Gauthier-Clerc, vétérinaire à la station biologique de la Tour du Valat, en Camargue, travaillant depuis un an sur la grippe aviaire. « Le fait que les oiseaux contaminés meurent rapidement limite le risque mais ne l'écarte pas définitivement, confirme-t-il. Il est donc envisageable que des canards sauvages amènent ce virus jusqu'à nous. Il faut savoir que les anatidés (canards et oies) ont une physiologie particulièrement propice à l'amplification du virus et que le canard colvert que l'on rencontre fréquemment sur nos étangs, soit à l'état sauvage, soit comme canard domestique ou appelant pour la chasse, est un très bon candidat à cette souche de grippe aviaire. Il suffit qu'un canard malade en migration lâche des fientes dans une mare pour que les autres canards s'y trouvant risquent d'être contaminés. Ce qui explique que l'Afssa recommande aux chasseurs de ne pas ramener leurs appelants dans des poulaillers au retour du marais. »
Chasseurs partenaires. Ainsi, à la station biologique de la Tour du Valat, on va capturer des canards en migration pour prélever dans leur cloaque des échantillons qui seront transmis à l'Institut Pasteur pour analyse afin de déceler immédiatement si un sujet est porteur de la souche H5N1 sévissant en Russie et dans le Sud-Est asiatique.
Aux Pays-Bas, où 25 millions d'oiseaux d'élevage avaient été tués par une épidémie de grippe aviaire en 2003, il a déjà été décidé de faire rentrer les 6 millions de volailles élevées en plein air pendant la période des migrations.
En France, le mouvement CPNT propose, lui, une méthode plus radicale de surveillance. « La chasse, par ses prélèvements, pourrait dès demain servir d'élément de veille sanitaire, car les chasseurs sont volontaires pour être des partenaires responsables face à ce risque majeur. Il faut mettre en place un programme de collecte d'oiseaux et négocier une chasse jusqu'à la fin février pour un principe de précaution », affirme CPNT dans un communiqué. Ce, bien sûr, « afin d'apporter aux scientifiques les données nécessaires pour lutter contre ce risque d'épizootie ».
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C'est bien pour celà que j'essaie de vous trouver des liens qui tiennent la route car il se dit tout et n'importe quoi.
Ta région comme la mienne est dans le collimateur, et ensuite nous sommes sur les courants migratoires et les aires de pose d'oiseaux.
Les anti-chasse vont s'en donner à coeur joie
Ta région comme la mienne est dans le collimateur, et ensuite nous sommes sur les courants migratoires et les aires de pose d'oiseaux.
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Le problème en fait c'est que les infos ne sont pas au fait du souci réel et que l'opinion publique n'y comprendra rien , ce n'est pas seulement cette années, mais c'est aussi les prochaines...
Mais ce n'est pas en interdiant la chasse que ça va changer le problème.
C'est plus en afrique ou ils vont hiverner que le problème se pose.
Mais c'st un débat immense , et personne en fait ne sait ce qui va se passer...a part stocker des vaccins...
La non-chasse ne changera strictement rien.
Mais ce n'est pas en interdiant la chasse que ça va changer le problème.
C'est plus en afrique ou ils vont hiverner que le problème se pose.
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infos du 19 septembre
Grippe aviaire: l'Indonésie confirme une 4e mort chez l'homme
Source : Nature-planete
JAKARTA - L'Indonésie a confirmé une quatrième mort chez l'homme des suites de la grippe aviaire. La victime est une Indonésienne de 37 ans décédée le 10 septembre dans un hôpital de la capitale.
Des tests initiaux effectués sur des échantillons de son sang avaient été positifs à la grippe aviaire, mais c'est un laboratoire de Hong Kong qui a permis de confirmer officiellement la raison de la mort. «Oui, c'est confirmé», a déclaré vendredi à l'AFP la ministre indonésienne de la Santé Siti Fadillah Supari.
Les humains pourraient un jour se transmettre la grippe aviaire, a averti jeudi le patron de l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Et ce quatrième décès humain n'augure rien de bon dans l'immense archipel où le système de santé et les normes phytosanitaires sont notoirement déficients. Jakarta avait annoncé fin juillet ses trois premiers décès des suites de la grippe aviaire dans le district de Tangerang au sud-ouest de la capitale. Ce dernier décès porte à 63 le nombre de morts après avoir été contaminés par le virus H5N1 depuis la découverte de la maladie en Asie du Sud-Est à la fin de 2003. Ce virus inquiète nombre d'experts dans le monde. En Indonésie, quatrième pays le plus peuplé du monde, la grippe aviaire a tué des millions de poulets en 2004 et les autorités ne sont pas parvenues à éradiquer l'épizootie en 2005.
Source : Nature-planete
JAKARTA - L'Indonésie a confirmé une quatrième mort chez l'homme des suites de la grippe aviaire. La victime est une Indonésienne de 37 ans décédée le 10 septembre dans un hôpital de la capitale.
Des tests initiaux effectués sur des échantillons de son sang avaient été positifs à la grippe aviaire, mais c'est un laboratoire de Hong Kong qui a permis de confirmer officiellement la raison de la mort. «Oui, c'est confirmé», a déclaré vendredi à l'AFP la ministre indonésienne de la Santé Siti Fadillah Supari.
Les humains pourraient un jour se transmettre la grippe aviaire, a averti jeudi le patron de l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Et ce quatrième décès humain n'augure rien de bon dans l'immense archipel où le système de santé et les normes phytosanitaires sont notoirement déficients. Jakarta avait annoncé fin juillet ses trois premiers décès des suites de la grippe aviaire dans le district de Tangerang au sud-ouest de la capitale. Ce dernier décès porte à 63 le nombre de morts après avoir été contaminés par le virus H5N1 depuis la découverte de la maladie en Asie du Sud-Est à la fin de 2003. Ce virus inquiète nombre d'experts dans le monde. En Indonésie, quatrième pays le plus peuplé du monde, la grippe aviaire a tué des millions de poulets en 2004 et les autorités ne sont pas parvenues à éradiquer l'épizootie en 2005.
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lire l'article de Libé d'aujourd'hui 21 septembre:
http://www.liberation.fr/page.php?Article=325200
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le monde 22 septembre
Grippe aviaire: médecins et vétérinaires appellent l'UE à se préparer à une éventuelle pandémie
Réunis à Bruxelles, médecins et vétérinaires venus des 25 pays de l'Union européenne ont appelé jeudi les gouvernements européens à se préparer en vue d'une propagation de l'épidémie de la grippe aviaire, de l'Asie vers l'Occident.
"Le risque d'une pandémie de grippe à laquelle pourrait être confronté le monde devrait pousser les Etats-membres (de l'UE) à intensifier le travail afin d'actualiser et d'adapter leur plans d'urgence face à la grippe aviaire", ont-ils déclaré dans un communiqué.
Réunis pour la première fois pour coordonner les efforts face à la menace d'une pandémie de grippe aviaire venue d'Asie, ils ont estimé que l'UE a besoin d'"établir une réaction synchronisée rapide pour les vétérinaires et des docteurs" si l'épidémie se propage sur le continent. L'UE devrait également faire plus d'efforts pour venir en aide aux nations asiatiques confrontées à la maladie, ont-ils noté.
L'épidémie de grippe aviaire qui fait des ravages en Asie depuis 2003, a déjà provoqué la mort d'au moins 63 personnes et conduit à la mort ou à l'abattage de millions d'oiseaux.
La plupart des cas touchant l'homme concernent des individus en contact avec les oiseaux malades mais l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) a mis en garde contre une possible mutation du virus, qui pourrait alors passer facilement chez l'homme, provoquant une pandémie qui pourrait tuer des millions de personnes.
Selon l'OMS, la bataille mondiale lancée pour prévenir une possible pandémie mortelle de grippe aviaire coûtera plus de 250 millions de dollars (205,5 millions d'euros) au cours des 12 derniers mois.
Grippe aviaire: médecins et vétérinaires appellent l'UE à se préparer à une éventuelle pandémie
Réunis à Bruxelles, médecins et vétérinaires venus des 25 pays de l'Union européenne ont appelé jeudi les gouvernements européens à se préparer en vue d'une propagation de l'épidémie de la grippe aviaire, de l'Asie vers l'Occident.
"Le risque d'une pandémie de grippe à laquelle pourrait être confronté le monde devrait pousser les Etats-membres (de l'UE) à intensifier le travail afin d'actualiser et d'adapter leur plans d'urgence face à la grippe aviaire", ont-ils déclaré dans un communiqué.
Réunis pour la première fois pour coordonner les efforts face à la menace d'une pandémie de grippe aviaire venue d'Asie, ils ont estimé que l'UE a besoin d'"établir une réaction synchronisée rapide pour les vétérinaires et des docteurs" si l'épidémie se propage sur le continent. L'UE devrait également faire plus d'efforts pour venir en aide aux nations asiatiques confrontées à la maladie, ont-ils noté.
L'épidémie de grippe aviaire qui fait des ravages en Asie depuis 2003, a déjà provoqué la mort d'au moins 63 personnes et conduit à la mort ou à l'abattage de millions d'oiseaux.
La plupart des cas touchant l'homme concernent des individus en contact avec les oiseaux malades mais l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) a mis en garde contre une possible mutation du virus, qui pourrait alors passer facilement chez l'homme, provoquant une pandémie qui pourrait tuer des millions de personnes.
Selon l'OMS, la bataille mondiale lancée pour prévenir une possible pandémie mortelle de grippe aviaire coûtera plus de 250 millions de dollars (205,5 millions d'euros) au cours des 12 derniers mois.
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sources Russian news26 septembre
MOSCOU, 26 septembre - RIA Novosti. Quatorze localités russes reste en quarantaine pour des cas de grippe aviaire, a annoncé le service de presse du Service fédéral pour le contrôle vétérinaire et phytosanitaire (Rosselkhoznadzor) dans un communiqué lundi.
"Au 26 septembre 2005, 14 localités sur le territoire de la Fédération de Russie restaient en quarantaine en raison de la grippe aviaire et 38 localités étaient sous soupçon", lit-on dans le texte.
Le Territoire de l'Altaï, les régions de Tioumen, d'Omsk et de Novossibirsk (Sibérie occidentale) et la région de Tchéliabinsk (Oural du Sud) figurent parmi les régions où des cas de grippe aviaire ont été constatés.
Mais la situation est revenue à la normale dans la région de Kourgan (Sibérie occidentale) et toutes les restrictions sur les localités sous soupçon ont été levées, a précisé le service de presse.
Au total, depuis le début de l'épizootie des cas de grippe aviaire ont été confirmés dans 49 localités de six entités de la Fédération de Russie. Dans 81 localités, le cheptel aviaire était sous soupçon.
Pour ce qui est des cas de fièvre aphteuse, Rosselkhoznadzor a indiqué dans son communiqué que "la situation épizootique n'a pas changé au 26 septembre".
"Vers les 28-29 septembre, il est prévu de lever la quarantaine en raison de la fièvre aphteuse dans trois localités située dans le Territoire de Khabarovsk et dans deux autres situées dans le Territoire du Primorié (Extrême-Orient russe)", a encore annoncé le communiqué.
MOSCOU, 26 septembre - RIA Novosti. Quatorze localités russes reste en quarantaine pour des cas de grippe aviaire, a annoncé le service de presse du Service fédéral pour le contrôle vétérinaire et phytosanitaire (Rosselkhoznadzor) dans un communiqué lundi.
"Au 26 septembre 2005, 14 localités sur le territoire de la Fédération de Russie restaient en quarantaine en raison de la grippe aviaire et 38 localités étaient sous soupçon", lit-on dans le texte.
Le Territoire de l'Altaï, les régions de Tioumen, d'Omsk et de Novossibirsk (Sibérie occidentale) et la région de Tchéliabinsk (Oural du Sud) figurent parmi les régions où des cas de grippe aviaire ont été constatés.
Mais la situation est revenue à la normale dans la région de Kourgan (Sibérie occidentale) et toutes les restrictions sur les localités sous soupçon ont été levées, a précisé le service de presse.
Au total, depuis le début de l'épizootie des cas de grippe aviaire ont été confirmés dans 49 localités de six entités de la Fédération de Russie. Dans 81 localités, le cheptel aviaire était sous soupçon.
Pour ce qui est des cas de fièvre aphteuse, Rosselkhoznadzor a indiqué dans son communiqué que "la situation épizootique n'a pas changé au 26 septembre".
"Vers les 28-29 septembre, il est prévu de lever la quarantaine en raison de la fièvre aphteuse dans trois localités située dans le Territoire de Khabarovsk et dans deux autres situées dans le Territoire du Primorié (Extrême-Orient russe)", a encore annoncé le communiqué.
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libé le 28 septembre:
"EPIZOOTIE
Test de dépistage rapide pour la grippe aviaire
mercredi 28 septembre 2005 (Liberation - 06:00)
Les chercheurs singapouriens ont annoncé hier avoir mis au point un test permettant de détecter dans un délai de quatre heures la présence du virus de la grippe aviaire chez des volailles. Avec les tests actuels, il faut entre trois jours et une semaine pour identifier la présence du virus, contre lequel il n'existe encore aucun vaccin."
"EPIZOOTIE
Test de dépistage rapide pour la grippe aviaire
mercredi 28 septembre 2005 (Liberation - 06:00)
Les chercheurs singapouriens ont annoncé hier avoir mis au point un test permettant de détecter dans un délai de quatre heures la présence du virus de la grippe aviaire chez des volailles. Avec les tests actuels, il faut entre trois jours et une semaine pour identifier la présence du virus, contre lequel il n'existe encore aucun vaccin."
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Pulié par Terre.net le 3 octobre:
Grippe aviaire - Intense activité diplomatico-politique
( Publié le 03/10/2005 à : 11H 02 min )
À New York, l’Onu s'est dotée le 29 septembre d’un coordinateur pour lutter contre la maladie, en la personne de David Nabarro, un médecin britannique considéré comme l’un des principaux experts en matière de santé publique à l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).
Celui-ci a d’emblée affirmé l’urgence d’une stratégie mondiale. " La plupart des scientifiques estiment que le délai sera très court entre la découverte du virus mutant qui causera la prochaine pandémie et le moment où cette pandémie deviendra incontrôlable. Ce sera une question de semaines ", a déclaré David Nabarro.
En France, le délégué interministériel contre la grippe aviaire Didier Houssin, a pour sa part rencontré les préfets au ministère de l’Intérieur pour y évoquer notamment la nomination de correspondants dans les préfectures, ainsi que l’organisation prochaine d’exercices en région. Enfin la menace de la grippe aviaire a été au centre de l’entretien tenu le jour même entre le directeur général de la FAO Jacques Diouf et Dominique Bussereau.
Grippe aviaire - Intense activité diplomatico-politique
( Publié le 03/10/2005 à : 11H 02 min )
À New York, l’Onu s'est dotée le 29 septembre d’un coordinateur pour lutter contre la maladie, en la personne de David Nabarro, un médecin britannique considéré comme l’un des principaux experts en matière de santé publique à l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).
Celui-ci a d’emblée affirmé l’urgence d’une stratégie mondiale. " La plupart des scientifiques estiment que le délai sera très court entre la découverte du virus mutant qui causera la prochaine pandémie et le moment où cette pandémie deviendra incontrôlable. Ce sera une question de semaines ", a déclaré David Nabarro.
En France, le délégué interministériel contre la grippe aviaire Didier Houssin, a pour sa part rencontré les préfets au ministère de l’Intérieur pour y évoquer notamment la nomination de correspondants dans les préfectures, ainsi que l’organisation prochaine d’exercices en région. Enfin la menace de la grippe aviaire a été au centre de l’entretien tenu le jour même entre le directeur général de la FAO Jacques Diouf et Dominique Bussereau.
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Grippe aviaire, alerte maximale
(05/10/2005)
Le ministre de l'Agriculture, Dominique Bussereau, affirme que la France "est au stade d'alerte maximal en matière de protection aviaire", même si "le strict contrôle des importations doit éviter l'entrée en France de volailles venues d'Asie du Sud-Est".
"Nous mobilisons notre réseau sanitaire", assure-t-il aujourd'hui dans une interview au Figaro . "Le travail s'effectue sur le terrain avec la surveillance des exploitations et des animaux. Il a été recommandé de ne pas les nourrir à l'air libre", poursuit-il.
Dominique Bussereau ajoute qu'en cas de doute, il appliquera le principe de précaution : "Nous avons déjà rencontré le cas avec un élevage de canards en Vendée qui a été éradiqué."
Aux Etats-Unis, le président George W. Bush a annoncé hier que les régions américaines éventuellement touchées par la grippe aviaire pourraient être placées en quarantaine sous contrôle de l'armée. AP
(05/10/2005)
Le ministre de l'Agriculture, Dominique Bussereau, affirme que la France "est au stade d'alerte maximal en matière de protection aviaire", même si "le strict contrôle des importations doit éviter l'entrée en France de volailles venues d'Asie du Sud-Est".
"Nous mobilisons notre réseau sanitaire", assure-t-il aujourd'hui dans une interview au Figaro . "Le travail s'effectue sur le terrain avec la surveillance des exploitations et des animaux. Il a été recommandé de ne pas les nourrir à l'air libre", poursuit-il.
Dominique Bussereau ajoute qu'en cas de doute, il appliquera le principe de précaution : "Nous avons déjà rencontré le cas avec un élevage de canards en Vendée qui a été éradiqué."
Aux Etats-Unis, le président George W. Bush a annoncé hier que les régions américaines éventuellement touchées par la grippe aviaire pourraient être placées en quarantaine sous contrôle de l'armée. AP
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annoncé ce soir 8 oct
des cas d'oiseaux mort de la grippe aviaire
en Roumanie
en Turquie
il serait temps de prendre conscience que c'est à nos portes.
Les Landes sonrt mobilisées en surveillant de trés prés les flux migratoires qui arrivent sur les étangs
Les palombes arrivent.
Et tout le sud ouest est plein de parcs ou les canards attendent en liberté sans les prés de finir en magrets pour les fêtes..
Moi ça me fait frémir pas vous ???
des cas d'oiseaux mort de la grippe aviaire
en Roumanie
en Turquie
il serait temps de prendre conscience que c'est à nos portes.
Les Landes sonrt mobilisées en surveillant de trés prés les flux migratoires qui arrivent sur les étangs
Les palombes arrivent.
Et tout le sud ouest est plein de parcs ou les canards attendent en liberté sans les prés de finir en magrets pour les fêtes..
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en tout cas , médias ou pas , nous avons en France de nombreux points de repos pour les migrateurs et pas que dans le Sud Ouest , dans l'Aube , le lac du Der , un endroit sauvage et superbe..
Les marais en baie de somme , et en Vendée..
etc etc,
Donc il serait temps que l'on aie de vraies infos , et que les concernés dans les régions ne se mettent pas la tête sous l'aile si j'ose dire..
et Quid des voyages de chasse dans les pays de l'est etc...
même si mon post n'a pas trop de lecteurs , ou de discussions ...
Je contunue à penser que nous n'avons pas vu le pire...
Les marais en baie de somme , et en Vendée..
etc etc,
Donc il serait temps que l'on aie de vraies infos , et que les concernés dans les régions ne se mettent pas la tête sous l'aile si j'ose dire..
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Grippe aviaire: le gouvernement saisit l'Afssa
Le gouvernement a saisi l'Agence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa) après l'alerte donnée, vendredi, par la Roumanie sur de possibles cas de grippe aviaire chez des canards.
Les éleveurs français inquiets
Les ministres de l'Agriculture Dominique Bussereau et de la Santé Xavier Bertrand ont demandé à l'Afssa de "mener une enquête" sur la possibilité que les centaines de volailles roumaines, suspectées d'avoir contracté la grippe aviaire, aient été contaminées par le virus H5N1.
Pour cela, l'Afsaa va donc prendre langue avec le laboratoire britannique de Pirgright, chargé d'examiner, au nom de l'Union Européenne, les échantillons des animaux suspects.
Car la Roumanie est en voie d'adhésion à l'UE ...
Or, si ces cas étaient confirmés, l'Afssa se verrait contrainte de faire des recommandations supplémentaires au gouvernement et notamment pour les élevages français, ce qui crée, par avance, émoi et inquiétude chez les professionnels.
Un risque qualifié de « faible » le 25 août denier
En effet, le 25 août denier, l'Afssa, déjà sollicitée par le gouvernement, avait estimé que le risque immédiat, en France, de contamination par les oiseaux migrateurs des poulets d'élevage en plein air était "faible". Avec un bémol cependant car il s’agissait, selon le rapport, d’un un "avis partiel et préliminaire" (sic).
L'agence avait alors recommandé de renforcer la surveillance en menant des études complémentaires : elle avait notamment insisté sur les conditions à venir d’études dans ce domaine et en particulier "sur une plus large palette d'espèces d'oiseaux migrateurs incluant les canards déjà partiellement étudiés" qui en toute logique devrait être prise en considération de même qu’"en prenant aussi en compte les migrations de printemps au retour d'Afrique" en 2006.
Certains appellent cela botter en touche, d’autres le principe de précaution. Question de langage …
Bref, une "attention particulière" devait être portée aux élevages fermés utilisant comme eaux de nettoyage et/ou d'abreuvement celles provenant des plans d'eau où se posent justement les oiseaux migrateurs.
Pour la France - premier producteur de l'UE et 3ème exportateur mondial - environ 20% des 90 millions de volailles présents en moyenne dans les élevages français sont cependant élevées en plein air.
Le gouvernement a saisi l'Agence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa) après l'alerte donnée, vendredi, par la Roumanie sur de possibles cas de grippe aviaire chez des canards.
Les éleveurs français inquiets
Les ministres de l'Agriculture Dominique Bussereau et de la Santé Xavier Bertrand ont demandé à l'Afssa de "mener une enquête" sur la possibilité que les centaines de volailles roumaines, suspectées d'avoir contracté la grippe aviaire, aient été contaminées par le virus H5N1.
Pour cela, l'Afsaa va donc prendre langue avec le laboratoire britannique de Pirgright, chargé d'examiner, au nom de l'Union Européenne, les échantillons des animaux suspects.
Car la Roumanie est en voie d'adhésion à l'UE ...
Or, si ces cas étaient confirmés, l'Afssa se verrait contrainte de faire des recommandations supplémentaires au gouvernement et notamment pour les élevages français, ce qui crée, par avance, émoi et inquiétude chez les professionnels.
Un risque qualifié de « faible » le 25 août denier
En effet, le 25 août denier, l'Afssa, déjà sollicitée par le gouvernement, avait estimé que le risque immédiat, en France, de contamination par les oiseaux migrateurs des poulets d'élevage en plein air était "faible". Avec un bémol cependant car il s’agissait, selon le rapport, d’un un "avis partiel et préliminaire" (sic).
L'agence avait alors recommandé de renforcer la surveillance en menant des études complémentaires : elle avait notamment insisté sur les conditions à venir d’études dans ce domaine et en particulier "sur une plus large palette d'espèces d'oiseaux migrateurs incluant les canards déjà partiellement étudiés" qui en toute logique devrait être prise en considération de même qu’"en prenant aussi en compte les migrations de printemps au retour d'Afrique" en 2006.
Certains appellent cela botter en touche, d’autres le principe de précaution. Question de langage …
Bref, une "attention particulière" devait être portée aux élevages fermés utilisant comme eaux de nettoyage et/ou d'abreuvement celles provenant des plans d'eau où se posent justement les oiseaux migrateurs.
Pour la France - premier producteur de l'UE et 3ème exportateur mondial - environ 20% des 90 millions de volailles présents en moyenne dans les élevages français sont cependant élevées en plein air.
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Le ministre roumain de l'Agriculture, Gheorghe Flutur a annoncé vendredi 6 octobre avoir interdit la chasse dans le delta du Danube, l'une des plus grandes réserves ornithologiques d'Europe et considérée comme une région "à haut risque" pour la propagation de la grippe aviaire.
"Nous avons pris cette mesure afin d'écarter tout risque de grippe aviaire, car nous nous sommes engagés auprès de l'Union européenne à garantir la sécurité alimentaire. Il s'agit d'une situation exceptionnelle et je compte sur la compréhension des chasseurs", a déclaré à la presse M. Flutur, de retour d'une visite à Bruxelles. Selon lui, la Roumanie qui n'a pas encore été touchée par la grippe aviaire, a déjà suspendu les importations de volailles en provenance de 15 pays. "Actuellement, nous sommes en train de surveiller les premières volées d'oiseux migrateurs, possibles vecteurs du virus", a-t-il précisé.
"Nous avons pris cette mesure afin d'écarter tout risque de grippe aviaire, car nous nous sommes engagés auprès de l'Union européenne à garantir la sécurité alimentaire. Il s'agit d'une situation exceptionnelle et je compte sur la compréhension des chasseurs", a déclaré à la presse M. Flutur, de retour d'une visite à Bruxelles. Selon lui, la Roumanie qui n'a pas encore été touchée par la grippe aviaire, a déjà suspendu les importations de volailles en provenance de 15 pays. "Actuellement, nous sommes en train de surveiller les premières volées d'oiseux migrateurs, possibles vecteurs du virus", a-t-il précisé.
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