Sur le plateau, les condition météo, jouent un rôle dans la tenue des perdreaux, mais au plus le temps passe au plus je me demande si ce n'est simplement pas lié au fait qu'en fonction du vent ou de l'humidité les bruits portent plus ou moins. Le matin, j'arrive toujours mieux à les approcher, l'après midi c'est plus difficile.
Pour les chiens, c'est l'entrainement et la mise en présence assez régulière qui fait la différence. Je chassais avec un copain qui dresse et élève des Rouges. Certains chiens n'arrivaient pas à nous bloquer les compagnies, mais ils se débrouillaient une fois la compagnie éclaté. C'était généralement les chiens les plus timide (trop sensible du nez comme disait mon pote)
Par contre pas de tir si pas d'arrêt. Le plus dur sur ces plateaux de chaumes, c'est le coulé.... En effet si on est au cul du chien c'est plus des perdrix, c'est des sprinters Une des solution consiste à faire couler de loin. Ma chienne Otter faisait ça comme une pro, au claquement de doigt Ca aide bien à la Bécasse, dans les gros bosquet impénétrable
Team des Kilouptout sans poêmes.