- Hartemiss et son Lievre
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Sortie samedi après-midi sur les Hautes Cotes. Madame est de la partie.
Je n'ai accès qu'à une toute petite partie du territoire, en attendant que l'équipe gros gibier ait chassé sur le territoire, donc jusqu'au 30/10, en gros.
Je sors l'arme fatale Excalibur en premier.
Une première remise visitée, rien de rien. En montant, j'explique à madame la successions des 3 remises qui nous reste, mentionnant qu'on repassera par les vignes, histoire de lever un rouquin.
Excalibur, 150 m devant, est déjà à la deuxième remise, et… Plus de cloche.
Evidemment, le palpitant est toujours au max. Et pourtant, je sers, et rien. Explication à ma chère et tendre, si c'était bien une bécasse, elle a pu longer la lisière, et entrée au chemin que l'on voit à 200 m. Mais on le refera à bon vent, en revenant.
On va faire la dernière pose, ou rien ne se passera.
En revenant à bon vent, Excalibur prend les devants, et rentre là où il faut. Silence, plus de cloche. Après pas mal de difficultés, chienne foncée sous les conifères… Je retrouve la chienne, sure d'elle et de la présence de l'animal convoité. Et moi donc…
Je lance une branche devant la chienne, elle bourre, rien ne se passe… Jusqu'à ce qu'un énorme lièvre ne prenne son essor… Pan Pan, loupéééé !
Comme si les bécasses ne suffisaient pas, voilà que la chienne me joue des scenari becassoïdes pour me faire exploser l'aorte.
Le reste de l'aprem ne donnera rien
Aujourd'hui sortie en pays d'Is, une bécassine loupée à l'arrêt de la petite Jet Blue. C'est le problème d'une jeune chienne qui vous arrête les alouettes au nez une par une. A la cinquième alouette, c'est une bécassine, et vous n'y croyez pas.
Fin de journée avec Hartemiss. Une compagnie de 12 grises bloquées comme une trialer, et deux lièvres dont l'un sera prélevé.
Encore trop tôt pour les bécasses. Quelques présences, mais le gros des troupes n'est pas encore là.