Voilà de retour d'indonésie avec un gros rhume chopé au retour dans les avions.
Toujours une très belle destination que ce pays aux habitants si gentils et si souriants.
Quelques photos histoire de partager un tout petit peu et pourquoi pas donner envie çà d'autres de découvrir ce pays.
De belles plages sans personne

Des jolies vendeuses de sarons mais qui cherchent beaucoup à parler et qui ne harcèlent pas trop les vacanciers.

Une belle nature pas encore salopée par l'homme et son pognon. Des buffles (Sapi en indo) en train de buller dans chaque trou d'eau.
Des gueules incroyables, un beau peuple.
Sous le charme complet de la beauté et de la nonchalance chaloupée des femmes indonésiennes.
Un des musiciens pendant les combats traditionnels de baton.

Des marchés colorés qui à cause de la mousson ont souvent un côté pile et un côté face.
Le coté pile avec la marchande de piments oiseaux base de l'alimentation. Il y en a dans chaque plat.

Le côté face plus glauque à cause des conditions climatiques et de la pauvreté.

De la super bouffe accessible sans compter grace à notre privilège de riche européen. Sur la photo un plat à base de mahi mahi (dorade corhyphène)

A, j'allais oublier, pour Christo, pas du tout emballé par le monde ultra aggressif et intolérant des surfers. Je resterai donc du côté des voileux mille fois plus tolérants et je passerai sans doute du windsurf intransportable en vacances au kite.
Mes pots étaient décontractés jusqu'à l'an derniers parce que quasi tout seuls sur la vagues qu'ils avaient choisi.
En un été, l'apocalypse, tout le sud ouest de la france qui circule sur la zone plus un peu de bretagne, beaucoup de nordiques et pleins d'australiens et de japonais.
Bref de 6h du mat a 6h du soir 20 à 30 personnes sur la vague en permanence, des crises à chaque sorties, de l'aggressivité intra surfers à gogo bref ca donne pas du tout envie.
Je me suis donc concentré sur la pêche de la carangues GT au popper. Finalement en quelques sorties je suis passé du statut de touriste à celui de Boss Mamou. Mamou étant le nom local des carangues GT.
Après quelques belles captures, j'étais acueilli dans le village par les enfants et les hommes par des "Selamat pagi Boss Mamou".
En tout cas super heureux de choper ces beaux poissons qui étaient immédiatement préparés par les habitants de la plage ce qui nous donnais le privilège de les manger avec eux.

Comme ca vous verrez ma trombine.
Cet am je vais essayer de sortir les monstres mais je suis un flemmard surtout avec ce rhume.Demain, catastrophe il va falloir aller bosser.
Dur dur le retour à la réalité.