Le Forum des passionnés de Setter Anglais

 
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Christo
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Pour la détente

25 févr. 2012 23:45

Trois ou quatre à éliminer mais le reste :D

Gros plan sur 20 citations de films qu'on n'est pas près d'oublier...




1. « La vie c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. » (Tom Hanks dans Forrest Gump, de Robert Zemeckis)

2. « Peu importe ce qu’on pourra vous dire, les mots et les idées peuvent changer le monde. » (Robin Williams dans Le cercle des poètes disparus, de Peter Weir)

3. « Quand on parle pognon, à partir d’un certain chiffre, tout le monde écoute. »
(Jean Gabin dans Le Pacha, de Georges Lautner)

4. « Mais tu ne comprends pas (…) je suis un homme !
-Et alors, personne n’est parfait ! »
(Jack Lemmon et Joe E.Brown et dans Certains l’aiment chaud, de Billy Wilder)

5. « Luke, je suis ton père… »
(David Prowse dans La guerre des étoiles : L’empire contre-attaque, de George Lucas)

6. « Les choses que l’on possède finissent par nous posséder »
(Brad Pitt dans Fight Club, de David Fincher)

7. « À la gare, y’avait trois manteaux, dans ces trois manteaux y’avait trois mecs et dans les trois mecs y’avait trois balles. »
(Charles Bronson dans Il était une fois dans l’ouest de Sergio Leone)

8. « Maintenant, si ça ne vous dérange pas, je vais me coucher, avant que l'un de vous ait encore une brillante idée pour nous faire tuer…ou pire, nous faire expulser !
- Il faudrait qu'elle revoit l'ordre de ses priorités.»
(Emma Watson et Rupert Grint dans Harry Potter à l’école des sorciers, de Chris Columbus)

9. « Une vodka-Martini. Mélangée au shaker, pas à la cuillère. »
(James Bond)

10. « C’est à une demi-heure d’ici. J’y suis dans dix minutes. »
(Harvey Keitel dans Pulp Fiction, de Quentin Tarantino)

11. "Tu vois, le monde se divise en deux catégories: ceux qui ont un pistolet chargé et ceux qui creusent. Toi tu creuses."
(Clint Eastwood dans Le bon, la brute et le truand, de Sergio Leone)

12. « C’est à moi que tu parles ? C’est à moi que tu parles ??... »
(Robert De Niro dans Taxi Driver, de Martin Scorsese)

13. « La différence entre toi et moi, c’est que moi j’ai la classe »
(Will Smith dans Men in black de Barry Sonnenfeld)

14. « J’adore l’odeur du napalm au petit matin. »
(Robert Duval dans Apocalypse now de Francis Ford Coppola)

15. « Allo McFly, y’a personne au bout du fil ! Faut réfléchir McFLy ! »
(Thomas F.Wilson dans Retour vers le futur 2, de Robert Zemeckis)

16. « Leilou Dallas, multipass. Muultiipaass
- oui elle sait ce que c’est qu’un multipass. »
(Milla Jovovich et Bruce Willis dans Le cinquième élément de Luc Besson)

17. « J’ai dégusté son foie avec des fèves au beurre et un excellent Chianti »
(Anthony Hopkins dans Le silence des agneaux de Jonathan Demme)

18. « J’ai les mains faites pour l’or, et elles sont dans la merde ! »
(Al Pacino dans Scarface de Brian de Palma)

19. « Le coup le plus rusé que le diable ait jamais réussi, c’est de faire croire à tout le monde qu’il n’existait pas. »
(Kevin Spacey dans Usual Suspects de Bryan Singer)

20. « On se serait shooté à la vitamine C si cela avait été illégal... »
(Ewan McGregor dans Trainspotting de Danny Boyle)
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Re: Pour la détente

25 févr. 2012 23:52

« Vous voulez un whisky ?
- Juste un doigt.
- Vous ne voulez pas un whisky d’abord ? »
(Gérard Darmon et Chantal Aubry dans La cité de la peur, d’Alain Berbérian)

« Et ben mes cadets, et ben mes p’tits frères, ça commence bien ! ».
(Louis de Funès dans La soupe aux choux de Jean Girault)

« C’est l’angoisse du temps qui passe qui nous fait tant parler du temps qu’il fait »
(Audrey Tautou dans Le fabuleux destin d’Amélie Poulain de Jean-Pierre Jeunet)

« Et…je prends l’assiette, je lave l’assiette, je rince l’assiette… »
(Pierre Richard dans Je suis timide mais je me soigne de Pierre Richard)

« Figurez-vous que Thérèse n’est pas moche, elle n’a pas un physique facile…c’est différent. »
(Thierry Lhermitte dans Le père Noël est une ordure de Jean-Marie Poiré)

« Une société, c’est comme une montgolfière. Si tu veux que ça monte, faut lâcher du lest. »
(Bernard Farcy dans Les trois frères de Bernard Campan)

"Vous avez de la pâte ? Vous avez du sucre ? Avec la pâte, vous faites une crêpe et vous mettez du sucre dessus !"
(Bruno Moynot dans Les bronzés font du ski de Patrice Leconte)

« Les cons ça ose tout. C’est même à ça qu’on les reconnait »
(Lino Ventura dans Les tontons flingueurs de Georges Lautner)

« Mais, Monsieur Ouille, n’essuyez pas avec votre poncho ! »
(Valérie Lemercier dans Les visiteurs de Jean-Marie Poiré)

« Excusez-moi d’en faire un sac, mais je vais finir dans un crocodile peut-être ! »
(Jamel Debbouze dans Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre d’Alain Chabat)

« Mais dites donc, dites donc, ça fait deux fois que vous me faites ça…vous m’avez déjà pris mes chaussures, maintenant mon vélo !... »
(Bourvil dans La grande vadrouille de Gérard Oury)

« Je gagne un paquet juste en respirant. »
(Gilbert Melki dans La vérité si je mens de Thomas Gilou)

« Mais Madame mais je vous jure…
- Marie-Thérèse, ne jurez pas ! »
(Catherine Jacob et Hélène Vincent dans La vie est un long fleuve tranquille d’Etienne Chatiliez)

« Foutez-moi le camp ou j’te tape ! »
(Louis de Funès dans Hibernatus d’Edouard Molinaro)

« Monseignor, c’est l’or…Il est l’or, l’or de se réveiller…Monseignor, il est huit or ! »
(Yves Montand dans La folie des grandeurs de Gérard Oury)

« On est là, comme deux cons, à attendre qu’un insomniaque aille se coucher…y’a pas comme un défaut dans l’énoncé ? »
(Frédéric Diefenthal dans Taxi de Gérard Pirès)

« C’est pas compliqué de parler ch’timi. Par exemple, nous autres, on ne dit pas ‘‘pardonnez-moi, je n’ai pas bien saisi le sens de votre question’’, on dit ‘‘Heiiiin ?’’ »
(Kad Merad dans Bienvenue chez les ch’tis de Dany Boon
Un pigeon, c’est plus con qu’un dauphin, d’accord mais ça vole
 
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Re: Pour la détente

25 févr. 2012 23:59

J'adore Audiard :shock: :D :D :D :D
1.« Les cons ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnaît. » Les tontons flingueurs
2.« Les ordres sont les suivants : on courtise, on séduit, on enlève et en cas d’urgenceon épouse. » Les barbouzes
3.« Quand les types de 130 kilos disent certaines choses, ceux de 60 kilos les écoutent. » 100 000 dollars au soleil
4.« La tête dure et la fesse mollele contraire de ce que j’aime. » Comment réussir quand on est con et pleurnichard
5.« Un pigeon, c’est plus con qu’un dauphin, d’accordmais ça vole. » Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages
6.« Mais pourquoi j’m'enerverais ? Monsieur joue les lointains ! D’ailleurs je peux très bien lui claquer la gueule sans m’énerver ! » Le cave se rebiffe
7.« Quand on mettra les cons sur orbite, t’as pas fini de tourner. » Le Pacha
8.« La justice c’est comme la Sainte Vierge. Si on la voit pas de temps en temps, le doute s’installe. » Pile ou face
9.« Si la connerie n’est pas remboursée par les assurances sociales, vous finirez sur la paille. » Un singe en hiver
10.« Deux intellectuels assis vont moins loin qu’une brute qui marche. » Un taxi pour Tobrouk
11.« Vous savez quelle différence il y’a entre un con et un voleur ? Un voleur de temps en temps ça se repose. » Le guignolo
12.« Dans la vie, il faut toujours être gentil avec les femmesmême avec la sienne. » Série Noire
13.« Je suis pas contre les excusesje suis même prêt à en recevoir. » Les grandes familles
14.« Il vaut mieux s’en aller la tête basse que les pieds devant. » Archimède le clochard
15.« Quand on a pas de bonne pour garder ses chiards, eh bien on en fait pas. » Mélodie en sous-sol
16.« Plus t’as de pognon, moins t’as de principes. L’oseille c’est la gangrène de l’âme. » Des pissenlits par la racine
17.« Deux milliards d’impôts ? J’appelle plus ça du budget, j’appelle ça de l’attaque à main armée. » La chasse à l’homme
18.« Je suis ancien combattant, militant socialiste et bistrotC’est dire si, dans ma vie, j’en ai entendu, des conneries. » Un idiot à Paris
19.« Le flinguer, comme ça, de sang froid, sans être tout à fait de l’assassinat, y’aurait quand même comme un cousinage. » Ne nous fâchons pas
20.« A travers les innombrables vicissitudes de la France, le pourcentage d’emmerdeurs est le seul qui n’ait jamais baissé. » Une veuve en or
Un pigeon, c’est plus con qu’un dauphin, d’accord mais ça vole
 
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Re: Pour la détente

26 févr. 2012 00:04

Et pour finir un film culte pour les pochtrons :D

Jean Gabin

Attention aux roches, et surtout, attention aux mirages ! Le Yang-tsé-Kiang n'est pas un fleuve, c'est une avenue. Une avenue de 5000 km qui dégringole du Tibet pour finir dans la mer Jaune, avec des jonques et puis des sampans de chaque côté. Puis au milieu, il y a des… des tourbillons d'îles flottantes avec des orchidées hautes comme des arbres. Le Yang-tsé-Kiang, camarade, c'est des millions de mètres cubes d'or et de fleurs qui descendent vers Nankin, puis avec tout le long des villes ponton où on peut tout acheter, l'alcool de riz, les religions… les garces et l'opium…

Jean Gabin, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard





Aux chiottes les Teutons ! Bande de mange-merde !

Jean Gabin, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard





Si je buvais moins, je serais un autre homme, et j'y tiens pas !

Jean Gabin, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard





Ah ! Nous y voilà ! Ma bonne Suzanne, tu viens de commettre ton premier faux pas ! Y a des femmes qui révèlent à leur mari toute une vie d'infidélité, mais toi, tu viens de m'avouer 15 années de soupçon. C'est pire ! Eh bien que t'a peut-être raison : qui a bu boira ! Ça faut reconnaître qu'on a le proverbe contre nous.

Jean Gabin, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard





Les gastronomes disent que c'est une maison de passe et les vicelards un restaurant chinois.

Jean Gabin, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard





Quand on a un enfant, y a des choses qu'on a pas le droit de faire !

Jean Gabin, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard





Dis-toi bien que si quelque chose devait me manquer, ce ne serait plus le vin, ce serait l'ivresse !

Jean Gabin, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard





Tenez, mon vieux ! Si je vous disais que certains soirs, derrière ce mur, là, et ben, j'ai vu, pas cru voir, hein, j'ai vu, une ville, des tramways, là, la foule, des drames !

Jean Gabin, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard





En Chine, quand les grands froids arrivent, dans toutes les rues des villes, on trouve des tas de petits singes égarés sans père ni mère. On sait pas s'ils sont venus là par curiosité ou bien par peur de l'hiver, mais comme tous les gens là-bas croient que même les singes ont une âme, ils donnent tout ce qu'ils ont pour qu'on les ramène dans leur forêt, pour qu'ils trouvent leurs habitudes, leurs amis. C'est pour ça qu'on trouve des trains pleins de petits singes qui remontent vers la jungle.

Jean Gabin, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard

Citation choisie citation du jour pour le 28 mars 2011.




Albert : C'est pas l'alcool qui me manque, c'est l'ivresse !

Jean Gabin, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard





Albert : Il est autant anglais que Lawrence d'Arabie est arabe. Perfidie légendaire !

Jean Gabin, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard





[modifier] Jean-Paul Belmondo

Arrière les Esquimaux ! Je rentre seul. Un matador rentre toujours seul ! Plus il est grand, plus il est seul. Je vous laisse à vos banquises, à vos igloos, à vos pingouins. ¡ Por favor Señora ! À quelle heure le train pour Madrid ?

Jean-Paul Belmondo, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard





Une paella sans coquillage, c'est comme un gigot sans ail, un escroc sans rosette : quelque chose qui déplaît à Dieu !

Jean-Paul Belmondo, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard





Monsieur Esnault, si la connerie n'est pas remboursée par les assurances sociales, vous finirez sur la paille !

Jean-Paul Belmondo, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard

Citation choisie citation du jour pour le 17 juillet 2011.




Les assassins et les voleurs se nourrissent de journaux. L'homme traqué est obligé de se tenir au courant de tout. Depuis cette manie des portraits-robots, je suis obligé de changer de tête tous les jours. Je m'étais fait hier, je crois, la tête de l'homme qui boit. Demain de quoi sera-t-il fait ?

Jean-Paul Belmondo, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard





Que ce soit la révolution ou la paëlla, dis-toi bien que rien de ce qui est espagnol n'est simple.

Jean-Paul Belmondo, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard





Une paëlla sans coquillages, c'est un gigot sans ail, un escroc sans rosette.

Jean-Paul Belmondo, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard





[modifier] Suzanne Flon

Cette nuit, Albert vous a parlé du Yang-tsé-Kiang. Eh bien ! Il faut pas ! C'est mauvais pour lui.

Suzanne Flon, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard





L'imprévu ? Qu'est-ce que c'est ?

Suzanne Flon, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard





[modifier] Paul Frankeur

Le picon-bière, ça pardonne pas. C'est de ça que mon pauvre papa est mort. Il n'y a rien de plus traître !

Paul Frankeur, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard
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Re: Pour la détente

26 févr. 2012 09:22

la déclinaison de toutes ces truculentes citations ne peut qu inciter a se replonger dans le merveilleux le livre d antoine blondin ,un sommet du genre, et pour ceux qui ont la nostagie des grandes nuits d ivresse terminant au poste sa lecture est a completer d urgence par celle de "monsieur jadis ou l école du soir" :D
voila mon ordonnance! et une saléee!j eparpille pas moi, j'ventile,façon puzzle..... :wink:
 
 
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Re: Pour la détente

26 févr. 2012 10:19

c'est l’anniversaire de quelqu'un en particulier aujourd'hui ?? histoire de .... :D
ImageMon bonheur? le regard de mes setters...