En voyant ton récit, je suis peinée...
Trois jours de chasse où les bécasses sont présentes c'est super mais avec l'éthique des accompagnateurs, ça fait mal au coeur...
J'imagine le soulagement quand tu te retrouvais seul avec ton frère et vos chiens... Le bonheur quoi, le dépaysement et surtout voir le travail du chien sans penser à tout péter !
Une bécasse au sol mon dieu !! Inadmissible, c'est scandaleux, c'est comme par chez moi, quand j'entends qu'un lièvre a été tiré au gîte... (De mon point de vue, c'est pas un chasseur... c'est un pauvre viandard...)