Pour les efforts a faire sur les populations c'est tres compliqué et il, n'y a pas que le "facteur humain" qui est important
Je m'occupe dans mon ACCA en partenariat avec les ACCA voisine et la fédé de la perdrix.
On effectue des comptages de couples en mars avec une baffle un lecteur mp3 pour reproduire le son et compter les coqs qui rappelle. Ensuite nous faisons un passage sur la commune en fin juillet/aout pour compter les petits par rapport aux couples recensés et ensuite nous decidont du nombre de prelevement possible pendant la saison de chasse.
Le travail sur les nuisibles est primordial avec les pie bavardes ( en surabondance chez nous) qui font beaucoup de mal sur les oeufs et les renards qui font mal sur les petits perdreaux. Je ne parle pas des buse,eperviers et corneilles qui sont proteger et pourtant qui font beaucoup de dégats.Sur les communes où le maraichage et l'arboricultures est present il est plus facile d'obtenir des resultats positif car l'eau et la nourriture est plus abondante et ses parcelles sont des "reserve" car les perdreaux s'y cantonnent comme la chasse y est interdite.
Dans le secteur garrigues et piedmont le probleme est beaucoup plus difficile:
En plus d'avoir les memes problemes qu'en plaine sur les nuisibles il y a le gibier roi de nos communes:LE SANGLIER
La surpopulation de cet animal l'oblige a devorer tout sur un territoire. Nous avons retrouver sur une commune de 1000ha 5nid de perdrix manger et défoncer par les sangliers. L'incompatibilité de toutes les autres especes sedentaires de petit gibier ( perdrix, lapin,) avec ces populations en surnombre et un large majorité de chasseur de sanglier dans les ACCA ( si ils sont majoritaire dans le bureau de l'ACCA" alors là c'est le drame"

) pose enormément de probléme pour faire des efforts dans le bon sens