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Bonjour,
la photo a été prise dans " les brûlés" ( de l'été 2022) d’où le paysage de désolation.....c'est comme ça sur des milliers d'hectares et la re plantation est aujourd'hui anecdotiques......des tas de souches à perte de vue......le comportement des oiseaux, bécasses, faisans sur ces zones est surprenant : ils se foutent dans les tas de souches, je pense pour des raisons alimentaires ( plein de masse végétale en décomposition) et aussi pour se mettre à l'abri .....là ou ça devient étonnant, c'est que même un oiseau ultra piéteur comme un coq, se comporte comme un oiseau endormi, il ne veut ( ou il ne peut) pas bouger.....au bout de qqes minutes d’arrêt du moustachu, je me suis dis " il déconne, il n'y a rien!!".au dernier moment je vois la tête du coq !!!!!! des oiseaux re introduits au mois de juillet !!! à la fermeture, je fais le carré avec mon copain, son setter arrête une bécasse dans un tas, il a fallu littéralement que le pote marche dessus pour qu'elle décolle.....quand je dis marcher, c'est la botte à 30cm de l'oiseau !!!!!

Bonjour,
a force de sorties dans les brûlés , la situation tend à se normaliser......le rappel est travaillé +++ , sans aucun écart de ma part et aucune tolérance vis à vis de ses sorties de main, et le boulot porte ses fruits....un miracle, j 'arrive à faire des sorties avec mon Moustachu sans sortir le Dogtra de la poche.....toujours le même job, petit galop, gauche droite et droite gauche....et ça prend son bonhomme de terrain,même à travers le piquant......

Le travail, le travail, pas d'écarts. Tu tiens le bon bout... La saison prochaine ça être un grand bonheur. Bravo.

Excusez moi j'ai fait une erreur

cassaire a écrit :

Le travail, le travail, pas d'écarts. Tu tiens le bon bout... La saison prochaine ça être un grand bonheur. Bravo.

Merci Cassaire....
c'est un boulot de chaque instant, dehors lors de la balade et dans la maison....un ordre doit être exécuté immédiatement....c'est un boulot, quasiment, de chaque instant....ne rien laisser passer....par moment, je reconnais que c'est pénible.....mais quel bonheur quand les sorties se font en toute " fluidité"......Quelle précocité et maturité dans le travail !! là on se dit que l'on tient un sacré cabot !!!! ce matin, sortie de main sur lièvre....sortie de main, normale pour un jeune chien.....un, puis deux coup de " nick" le chien revient......il y a 2 ou 3 semaines ça aurait été 4 ou 5 coup de " continu"......c'est un jeune chien, avec de gros moyen ( pour sa race, ça n'est pas un setter!!!quoique quand je vois les setters locaux....) qui a un sens de la chasse exacerbé, faut le tenir, le contenir.....en toute honnêteté, c'est plus cool avec un jeune setter.....mais certaines questions , avec notre setter, se situent dans d'autres domaines qui sont parfois plus difficiles à gérer pour un amateur comme moi.....le "plus que parfait du subjonctif " qu'il faut parfois utiliser avec un setter laisse la place à l'impératif .....parfois plus simple à conjuguer !!!

bonjour,
j'ai des poules....et un coq ....le coq, pas un monstre, 2,5kg/3kg a l'habitude de protéger ses poules en mode large...large veut dire qu'il arrive, je ne sais comment, parfois à sortir de l'enclos et de vérifier que rien ne s'approche à moins de 10m du dit enclos.....faut dire qu'il suit une de mes poules Leghorn , sa favorite, qui vole comme un faisan lâché la veille....quand il arrive à être dehors, mes setters l'évitent....faut dire que Hector, le coq , sait partir dans des charges pleines de colère et mes setters sont des chiens de paix.....le Munsterlander, évite le contact mais il ne faudrait pas le chauffer.....bref, ce matin, je sorts, je siffle les chiens.....les setters arrivent suivis du PEM.....Mais pas de Moustachu....je re siffle et là, Monsieur Moustache arrive avec plein de plumes dans la barbe.....Hector avait eut la mauvaise idée de chercher la castagne au Moustachu....adieu mon coq.....faut que je reprenne mon grillage......

Pens aussi à plumer le coq, ce serait dommage qu'il soit perdu, 1 coq au vin, en plus tu sais d'où il sort, c'est très bon.
Qaund à y faire passr au moustachu, çà risque dee ne pas être simple, bon courage.

Oui Marc,
j'adore manger, au vin, ces coqs de corpulence " moyenne" c'est un régal.....même avec les coqs de pondeuse, à la différence des coqs de chairs il n'y a quasiment pas de blancs....faut juste prendre son temps pour le cuisiner.....perso je compte 3 cuissons......mais là , non, un chien qui a ( largement ) mordu dedans, c'est foutu.....le Moustachu a tapé dedans, normal, l'autre était de nature ( mais pas de taille) à chercher la bagarre....cette fois il a perdu

RIP Hector.....

Ces " petits coqs" issus de pondeuses sont délicieux, bien sur au vin, blanc ou rouge, mais aussi en colombo pour peu qu'ils aient au moins 6 mois/un an ( sans rencontrer de Moustachu !!).....ces oiseaux, jeunes ne se vendent même pas, ou juste un paquet de grain en retour.....

Je vais te dire qu ce n'est pas toujours facile de trouver ces volailles qui pourtant sont excellentes et font partie du patrimoine culinaire français. Par exemple trouver une grosse poule poour faire une poule au pot (ou bouilllie comme on dit chez moi) çà devient mission impossible

Marc,
il y a peu j'ai eu envie de manger une poule au pot avec un peu de sauce blanche....je ne me sens pas l'envie de tuer une de mes poules pour la bouffer, et puis ce sont de pures pondeuses donc, pas consommable ...je suis allé chez inter, commande passée et me voila avec un engin de ...3 kg !!!! t'imagine ? à deux personnes ......
Pour ces jeunes coqs issus de pondeuse, localement on les donne car ils ont peu de valeur....comme je disais plus haut, ils ont des bonnes cuisses, de bonnes ailes mais presque pas de blanc et une carcasse légère....par contre, mis qqe temps au grain , ils sont délicieux!

Pour les poules je parlais bien sur de les trouver à la boucherie ou chez le volailler, comme tu dis il faut les commander et encore pas toujours

Mon petit retour sur le Korthals.....il a été mon premier chien de chasse, j'avais 20 ans et mon père disparaissait....c'était son chien, c'est devenu le mien.....un chien d'un bon gabarit, avec parfois un caractère un peu difficile, y compris avec les humains, aujourd'hui, si je possédais aujourd'hui un tel chien, je me poserais d'avantage de questions.....une quête " sous le fusil"....caractère difficile avec les autres chiens.....à la chasse, du gauche droite, droite gauche à 30/40m.....tranquillou....chien issue de grande lignée de l'époque....mon deuxième, plus tonique, plus souple mais toujours un peu délicat coté caractère....parti trop jeune.....après j'ai connu un Breton, un lab, un bleu de Picardie ( qui était en fait un petit setter) , des ( 4) setters, et puis, 40 ans plus tard je remets les doigts dans le pot de confiture....un nouveau Korthal....je connais un autre Bécassier possédant une chienne de lignée voisine....même diagnostic...le caractère vis à vis des humains s'est largement assoupli...l'attirance vis à vis du poils reste là, bien présente....mais la quête n'a plus rien a voir.......ça vaut largement un setter " moyen".....par contre une constante = tête en bois .......mais, tout de même coté chasse, ça vaut le coup de s'y pencher....

Bonjour,
a raison d'une sortie ( entre 1 et 2h00) , un jour sur 2, Monsieur tête en bois s’assouplit......toujours le gauche droite et droite gauche mécanique sans génie , mais pas sans plaisir, mais tout de même dans la zone 70/100m sans coup d'éclat comme un setter peut faire, mais un boulot de laborieux, des lacets bien menés, serrés dans le dur,un contact qui devient plus présent......je ne le loupe pas sur une faute sur les fondamentaux ( RAPPEL....) et cela commence trés sérieusement à ressembler à qqe chose...d’efficace !!! je commence vraiment à m'amuser avec le moustachu......et puis ....quel bosseur!!! quel laborieux !!!!il faute....on revient au point de faute...mais il repart aussi sec sans arrières pensées......il CHASSE
Alors, les autres jours ( 1 sur 2) je sorts les grands, les setters.....bon là, après saison de chasse c'est le grand déballage......mais pas là même sensation de " chasse".....s'exprime surtout le besoin de courir.....de se " libérer".....c'est beaucoup moins en mode " prédateur".....ils ont des " Fourmies dans les pattes" ....il faut qu'ils se libèrent..tandis que mi dans les mêmes conditions, le Moustachu est toujours en mode " chasse"

Aujourd'hui je suis persuadé que un bon Korthals peut facilement être comparé à un bon setter " milieux de gamme".....un grand setter reste grand....mais ils ne sont pas si fréquents en mode " chasse",

c'est quoi???

Fausse manip de la patronne...

bonsoir,
mon boulot avec le Moustachu continue....un jour je sorts les setters, le lendemain les " petits " ( Moustache et le PEM)....donc chaque chiens sorts en territoire ouvert au minimum 1h30 1 jour sur 2.....
Mon principe ( peut être pas le bon) = hors saison de chasse je serre les boulons.....pour être plus tranquille en saison de chasse,ou le serrage de boulons est plus " mou"
Plus ça va, plus le job réalisé par mon tout jeune Moustachu m'enchante.....ça devient fluide....le Dogtra reste dans la poche....c'est du gauche droite/droite gauche sans génie mais sans obstacle.....a tel point que j'évite les secteurs pourvus de fossés de drainage ( il est jeune et j'ai un peu peur pour ses articulations quand je le voie franchir un fossé en sautant comme un bourrin )......quel que soit l'obstacle,un fossé, des tas de branche, il croise sa quête.....mettez lui un mur en parpaing de 1m50 de haut, il passera au dessus pour croiser sa quête !!!dans du dur, c'est 50m , 70m (mais ,au moins il y va...) dès que le biotope se dégage, il allonge......parfois beaucoup !! je me régale !!! trés trés gros sens de la chasse et grosse maturité !! je n'ai pas , plus, des setters " hauts de gamme" , mais franchement, coté maturité chasse, le Moustachu fait à l'aise jeu égal avec eux quand ils avaient ....entre 2 et 4 ans !!!!lui qui n'a pas connu une seule saison de chasse entière......par contre, faut le tenir.....et cela n'est pas toujours reposant, plaisant.....
celui là, il va faire mal......

Par contre, il y a des matins, rares, ou on voit bien que tous les animaux de la foret ont menés une sarabande nocturne ( je regarde beaucoup les " pieds" !).....sangliers, chevreuils ( là ça commence a avoir un impact!!) et surtout lièvres ( là ça fait mal...)et renards ....les lièvres sont terribles car toujours à la me^me place....cela devient presque une sorte de rdv !!!! dans ce cas, il vaudrait mieux que je remette le Moustachu dans la voiture ......mais bon, il n'a qu'un an et ne sait pas encore ce qu'il doit chasser !!
et puis coté lièvre, je m'autorise à en tuer un par an.....uniquement question bouffe, civet, terrine.....comment je fais?, à force de chasser avec les "grands", les setters, je devine ou il y en a un....retour à la voiture, pas de bécasses....je sorts le PEM et je refais les secteurs ou j'ai déjà levé un lièvre.....en général, cela ne traine pas!!!!

Tu éclairés l'intérêt que l'on peut trouver a un bon continental. Ton moustachu est super exemple.

cassaire a écrit :

Tu éclairés l'intérêt que l'on peut trouver a un bon continental. Ton moustachu est super exemple.

j'ai pris un Moustachu, initialement pour des questions uniquement " d'ordre pratique", sans passion.....Un peu comme si j'achetais un bon outil....A mon grand étonnement, sortir ce genre de chien, au travail sans spectacle, sans éclat .....me régale !!! ( encore une fois, je n'ai plus de "grands" setters ce qui impacte forcément ma vision des choses.....)c'est du tout bon, ça chasse, coute que coute....et ce chien n'a pas encore connu une saison de chasse complète !!! par contre, il a une tête bien dure....mais dans sa dureté, il est simple dans son mode de fonctionnement!! de la dureté, oui, mais sans difficulté, complexité...
Maintenant, il est issu de ce qui ce fait de mieux en matiere de Korthals.....Sa mère championne de travail à 18 mois, son père idem à 24 mois et pas un seul ascendant sur 3 génération qui ne soit primé en travail ( GT bien sur mais aussi printemps et GS....).....ÇA Y FAIT !!!
Quand je vois le nombre de chasseurs qui se font accompagner de " traine savate" à la chasse et qui disent " mon setter va un peu loin"......j'ai mal pour eux !!!!!

une citation, je crois de l'Abbé Godard : le Korthals c'est le zouave de l'armée Française....si on lui dit qu'il y a des ennemis, il ne demande pas combien ils sont, mais ou ils sont !!!!!

Pierre-33 a écrit :

une citation, je crois de l'Abbé Godard : le Korthals c'est le zouave de l'armée Française....si on lui dit qu'il y a des ennemis, il ne demande pas combien ils sont, mais ou ils sont !!!!!

Ahhh je comprends pourquoi mes parents me disaient toujours " Arêtes de faire le zouave " ... mais en y réfléchissant bien, ce n'est pas d'hier

Les origines du terme "faire le zouave"

"Pour comprendre l’origine du terme "faire le zouave", il est nécessaire de remonter à l’époque du Second Empire français, sous le règne de Napoléon III. Le zouave était un soldat d’infanterie légère recruté principalement parmi les populations de Kabylie, une région située dans l’actuelle Algérie. Ces soldats étaient renommés pour leur bravoure au combat et leur habillement caractéristique.
Le costume des zouaves

Le costume des zouaves était un élément clé de leur identité. Ils portaient un pantalon bouffant de couleur vive, souvent rouge ou bleu, ainsi qu’une veste à manches longues et un gilet. Leur tête était coiffée d’un fez rouge orné d’un gland. Ce costume haut en couleur et exotique avait pour but de créer une impression de fermeté et de détermination.
Les exploits des zouaves

Les zouaves étaient réputés pour leur bravoure sur le champ de bataille. Leur formation rigoureuse et leur discipline exemplaire en faisaient des soldats redoutables. Ils étaient souvent utilisés pour mener des assauts et des attaques rapides, nécessitant une grande agilité et une audace sans faille.
L’entrée triomphale des zouaves à Paris

Mais c’est surtout l’entrée triomphale des zouaves à Paris en 1854 qui a popularisé l’expression "faire le zouave". À l’époque, la France était engagée dans la guerre de Crimée et les zouaves avaient pris part à de nombreux combats. Leur retour victorieux fut célébré par des parades et des festivités à travers la capitale française.
L’exubérance des zouaves

Lors de ces parades, les zouaves étaient réputés pour leur exubérance et leur comportement spectaculaire. Ils effectuaient des acrobaties et des danses, attirant l’attention de la foule. Leur attitude joyeuse et festive donnait l’impression de "faire le zouave"."