quelques payasages du côté justement de macroom.
Un joli tableau à la fin d'une matinée de chasse
dans ce tablezu 3 bécassines dont je suis trés fier
petites ancedotes, ce jour là je tue également deux bécasses. La première toombe raide, environ à 20 ou 25 mêtres de la où je me trouvais. Je repère a peu prés l'endroit, mais ne me précipite pas aynat vu l'oiseau vraiment foudroyé. patatra, j'y vais, je cherche, cherche encore d'avantage, pas d'oiseau. Ne connaissant rien de pire que de perdre du gibier j'appelle les copains à la rescousse qui étaient environ à une centaine d emêtres de là, et je continue de chercher des yeux le temps qu'ils arrivent pour ne pas piétiner partout. Résultat avec deux springers, deux setters, et un labrador.....: RIEN, nous entâmons alors une espèce de battue en règle pour pallier la notable insuffisance des chiens. Au bout de longues minutes, François finit par voir l'oiseau raide mort, gisant les ailes grandes ouvertes dans une touffe de joncs. Nous laissons faire les chiens, pour voir...et bien les chiens sont passés juste à côté sans rien sentir, il en est même un qui a fini par mettre sa patte dessus toujours sans rien sentir ! Cette expérience s'est renouvelée plusieurs fois pendant le séjour.
Mais ce jour là je démonte une bécasse à une trentaine de mêtre dans un épais roncier juste en bordure d'une sapinière. Je repère parfaitement l'endroit de la chutte de l'oiseau. cette je " précipite " ( oui, vu les ronces je vais mettre un bon quart d'heure chrono pour atteindre l'endroit ). Là je rtrouve effectivement plusieurs plumes, suffisament à mon sens pour retrouver l'oiseau mort à proximité immédiate, un rapide examen visuel ne donne rien. Nous nous décidons alors à appeler les chiens: rien, puis nous entreprenons de fouiller les ronce soigneusement: rien, je secoue l'arbre plein de lierre: rien. Au bout de 20 minutes, de guerre lasse, les mains en sang et vraiment d'avopir ainsi blessé une bécasse, je dis que c'est fini et nous repartons en essayant de trouver un chemin un peu plus facile. Alors que nous rebroussons chemin, les ronces devenant de plus en plus impraticables, le labrador du doux nom de Mag sort de la sapinière une bécasse bien morte dans ma gueule. LA bécasses avait du faire une trentaine de mêtres à pattes avant de mourir pour aller se cacher sous les sapins, sans laisser la moindre trace au sol.