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j'ai changé le titre et justement pour ne pas associer un référencement google à un titre.. mais tu le sais aussi bien que moi...

Désolé Blue, je n'y avais pas pensé. Tu as eu raison de le faire, ça ne sert à rien de rajouter de l'eau au moulin des antichasseurs primaires.

Gordon a écrit :

j'ai changé le titre et justement pour ne pas associer un référencement google à un titre.. mais tu le sais aussi bien que moi...

Désolé Blue, je n'y avais pas pensé. Tu as eu raison de le faire, ça ne sert à rien de rajouter de l'eau au moulin des antichasseurs primaires.

Merci Gordon, c'est exactement l'esprit dans lequel ma démarche de changement de titre était faite

Je suis étonné que l'on puisse s'indigner...
Quand on veut prendre une participation sur une chasse, on se renseigne avant sur le mode de chasse pratiqué. Depuis Graham Bell, c'est assez facile...
Si on veut chasser au chien d'arrêt, on ne va pas sur une chasse où la battue est le mode de déduit...
Et on ne traite pas ses participants d'abrutis...
Tout mode de chasse est respectable, même s'il ne vous plaît pas, du moment qu'il s'exerce dans le respect de la législation et avec un prélèvement responsable.
De plus, je ne vois pas ce qu'il y a d'étonnant à ce que la culture du chien d'arrêt soit réduite au minimum chez des chasseurs en battue...
Je suis invité tous les ans à une battue de perdreaux sur un de mes terrains d'entraînement. Bien que ce mode de chasse ne soit pas ma tasse de thé, j'y vais pour faire plaisir à mon inviteur qui se fait une joie de me recevoir.
On y voit beaucoup d'oiseaux pour un tableau plus que mince... et je n'y vois aucun "viandard"...
Mais mes chiens restent à la maison...

c'était dans les années 70.
l'ouverture commencait par un chaudron. Bien sùr les jeunes de l'époque tiraient les plus gros numéros( correspondants au plus long chemin à effectuer)
j'étrennais un superbe 20 d'occasion et comme d'habitude à l'ouverture je portais mes 50 cartouches dans le gilet et mon porte carnier en avait 30 de plus.
dès le départ, je manquais un baudet dans mes culottes, malgré le mauvais vent la vieille setter arrètait des compagnies que je manquais lamentablement; certainement dégoutée de ma maladresse à l'approche de la fermeture du chaudron elle alla se coucher sur la botte de paille portant mon numéro.
je ne sais pas si les perdreaux savait qu'il y avait un trou à ma place mais rien ne tombait et ça passait, passait.
les 50 cartouches etaient brulées , les 30 dernières entamées et RIEN
A la fin du chaudron je repartais à la maison changer de chien et surtout de fusil
je ne vous dirais pas combien il y avait de perdrix par terre l'après midi bien qu'il y ait prescription mais c'était des années où on pouvait se permettre de rater qques cartouches
et qu'avec un bon chien dans les betteraves, c'est beaucoup plus facile et mortel qu'une battue sans entrainement