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Une petite idée de sujet qui me trotte dans la tête depuis un moment.
Dans votre vie au quotidien, ou dans le dressage il y toujours des moments uniques, marquants, des anecdotes.
Ce peut être son premier arrêt, un déclic lors du dressage, une situation amusante. Bref, un moment qui vous a marqué...

Ce sont eux dont on se rappelle quand (malheureusement) le chien n'est plus la, et qui font aussi qu'on est tellement attachés à eux.
J'en ai quelques uns de ces moment avec Newton (toujours vivant, je précise!), et je pense que vous aussi.
Qui se lance pour nous en raconter quelques uns?

bien jolie idée..
Alors ..je dirais ..
Nuts avait 18 mois quand j'ai ramené une petite boule blanche de 2 mois et demi..Peggy
Outre sa surprise en voyant cette nouvelle venue et les moments cocasses qui s'en suivirent...et qui se repètent encore 6 ans après...
Mon plus beau souvenir est quand Peggy avait environs 4 mois, je les emmenais tous les deux au bois..et Nuts me plante un superbe arrêt , (un faisan du lâcher de la veille ( ).
et la petite qui avait bien du mal dans les fougères et les ronces se mit à 2 m derrière lui dans un arrêt à patron des plus académiques!!
elle n'a pas bougé, elle avait un regard vers son grand frère et un regard vers le faisan ..
ça n'a pas duré , mais l'instant était magique!!
Mais avoir deux setters ensemble , ce sont beaucoup d'instants magiques!!!

Tres joli
C'est vrai que quand on a gouté à la chasse (pas qu'à la chasse d'ailleurs) avec deux setters, on revient rarement en arrière...
Chaque fois que un de mes chiens arrête avec l'autre qui patronne, c'est un instant magique, un moment déternité! C'est bête mais c'est comme ça....

A mon tour d'en raconter un...

Le mois de septembre 1997 était tres chaud, comme le sont souvent les fins d'été dans le sud ouest. Cela a été aussi une plus grandes années à cailles qu'il m'ait été donné de voir.
May a fait ses débuts de chasseur précisément cette année la. Et au mois de septembre il avait environ six mois...

C'était un dimanche, vers le début de l'après midi. Le genre de dimanche ou la chaleur écrasante fait préfèrer aux gens par chez nous une bonne sieste.
Nous sommes rentrés dans le champ mon oncle, mon père et moi. Nous avions emmené 4 chiens d'arrêt confirmés et un novice may.

Nous avons remonté en voiture le chemin de terre jusqu'au chaume de blé, puis une fois équipés nous avons lâchés les chiens.

A peine ces derniers ont ils franchi le chemin pour entrer dans le champ qu'ils sont tombés tous à l'arrêt en même temps.
Ils arrêtaient tous de front, tous les cinq, espacés de un a deux mètres. Même May faisait un arrêt patron!

Apres un arret tétanisant de trois au quatres minutes, les cailles ont fini par se lever.
Nous avions cru arrêter un même groupe de cailles mais nous nous trompions. Chacun des chiens arrêtait en réalité une famille de cinq ou six cailles!
Magnifique spectacle à l'envol!

Le tout à été accompagné d'une salve de de coups de fusils aussi nourrie qu'inneficace.
Surpris par le nombre des cailles, nous avions tiré dans le tas, et comme bien souvent, tout raté!

Nous avons tourné dans ce champ trois ou quatres heures durant malgré la chaleur. May a éffectué plusieurs patrons sur d'autres chiens.

Puis nous avons remarqué que ce dernier provoquait des "accidents" fréquents, et passait au milieu de groupes de cailles.
Les accidents se sont rapidement mués en arrêts.

Et sous nos yeus May a acquis sont autonomie. Il s'est mis a chasser seul, dans son style, et a arrêter... Ce sont les autres chiens qui se sont mis à le patronner.

L'apres midi fut mémorable...
Je me souviens que nous avons quitté le champ fatigués de tirer avec plusieurs dizaines de cailles abattues (quasimment une chasse marocaine!).

Nous sommes entrés dans ce champ avec quatres chiens confirmés, nous sommes repartis avec cinq comme nous le dirons tous plus tard.

Avec une facilité déconcertante (et l'aide de quelques dizaines de cailles) may avait acquis l'essentiel dans une apres midi: l'arrêt , le patron, et même le rapport.
Ce dernier a même surclassé notre chienne setter de 08 ans!

A peine arrivé et il venait d'entrer dans la légende...

C'est une apres midi dont nous reparlons souvent mon père, mon oncle et moi...

Katia était une chienne formidable, une exellente chasseuse. Je me souviens d'une scene de chasse.
Elle était à l'arret sur un faisant qui ne voulait pas s'envoler. A un moment le faisant piéte. Katia le suivie sur 10 mètres puis elle lui tira la queue pour le faire envoler. Cette scène nous à fait beaucoup rire aussi.

J'ai vécu une scène marrante avec mon Djiby.

Nous sortions de la maison. Tout à coup il voit un chat et le course. Je m'égosille pour le faire revenir mais sans succès.

Un instant plus tard mon chien réapparaît la queue entre les jambes, et pas très fier de lui... C'était le chat qui le coursait

Une scène digne d'un dessin animé...

Ce jour là, il m'a fait bien rigoler.

Week-end passé chez les grands-parents, à la campagne, là où "on" abat les chiens qui dérangent le gibier...
Pour partir quelques heures sans Twister, tous les volets de la maison ont été soigneusement fermés pour que le filou n'ouvre pas de porte fenêtre.
Porte d'entrée fermée à clef, volets rabattus devant,mais pas crochetés (bon, vous devinez la suite...)
Retour 3 heures après (19 h). Stupeur, Twister était assez gentiement devant la porte d'entrée, volets ouverts !!!!
On avait oublié de fermer à clef et Twister est sorti et a du nous chercher de partout car il était mort de fatigue....
nb: la route départementale, très fréquentée, passe juste devant la maison...
Sain et sauf mon Twister,pas de plomb dans les fesses...

Pascal

C'est un souvenir de chasse,
Elle n'avait pas encore 2 ans mais s'avèrait déjà très douée pour la bécasse. Cela faisait bien 5, 6 sorties qu'une sorcière nous amusait elle montait le long d'une vieille coupe de bois nous obligeant 450 m de denivellé pour finir par s'évanouir on ne sait où.
La chienne l'arrêtait et l'oiseau traversait la coupe avant que je sois à bonne distance et montait ainsi de plus en plus haut sans qu'un seul tir ne fut possible.
Cette fois, la chienne alla tout de suite à sa place et bien trouvait "son oiseau" au même endroit. A l'envol elle ne suivit pas cette bécasse mais monta toute la pente pour attendre à l'endroit où on la perdait. Je montais dans la coupe comme d'habitude, distinguant la chienne qui m'attendait en haut. J'avoue que je ne comprennais pas sur le moment ce qu'elle faisait. Comme je me suis toujours interdit d'intervenir dans la partie d'échec entre le chien et l'oiseau, je laissais faire.
En montant cette maudite coupe, la bécasse par mon bruit, effectuait ses déplacements habituels. Au 3ème vol, j'ai enfin compris ce que la Sally avait dans la tête !
A la 5ième remise elle put enfin voir où l'oiseau se cachait et alla le vérouiller sans trop d'effort.
Ce fut une grande preuve d'intelligence de la part de la chienne, et prendre un oiseau en ce lieu "inhabituel" fut une belle journée et "Le souvenir". Depuis il y en a eut d'autre comme notre premier Coq la veille de mes 40 ans.
Mais c'est une autre histoire......

le premières prouesses de nos chiens....et les suivantes aussi d'ailleurs, laissent toujours un souvenir ému...et bien souvent rien qu'entre lui et nous au bois..à ce moment là
Merci de nous le faire partager

petit souvenir lié aux dressage de Newton, (alias May)...

Alors que May était encore âgé de moins d'un an je l'ai emmené dans un chaume situé à côté de chez moi, ou j'ai coutume de venir entrainer les chiens peu avant l'ouverture...

Je lache donc May qui commence à chasser.
Je constate néanmoins au bout de quelques minutes qu'il ignore superbement mes rappels.

J'ai beau siffler, crier rien n'y fait: May continue à chasser semblant se moquer allégrément de mes rappels...
Ma voix devient plus menaçante au fil des minutes...

C'est alors que je remarque que May modifie significativement sa quête et entreprend de chasser frénétiquement en découpant le champ en tranche de un metre, tout en accélérant.
Le résultat ne tarde pas, et le chien marque un magnifique arrêt...
Je me dirige donc vers lui, et je sers l'arrêt... Une caille se lève.
Magnifique travail du chien que je ne peux que féliciter.

Un affreux doute m'assaille. Cette saleté de cabot aurait il cherché désespérement (et finalement trouvé) une caille dans le seul but d'échapper à ma colère?

Je sais bien que ce n'est qu'un chien, mais j'aurais juré voir dans son regard un espece de sourire moqueur et triomphant...

C'était en effet bien joué car je n'avais pas d'autre choix que de le féliciter apres une action pareille.

L'Horrible doute se muera vite en certitude lors des séances suivantes.

Toujours le même scénario...
Apres avoir ignoré mes rappels plusieurs minutes durant, May s'évertue à trouver un gibier a arrêter, qui lui assure l'impunité à son retour...

Il y a quand même eu quelques fois, ou même en cherchant bien, il s'est fait avoir et ou il n'a pas réussi à en trouver. Remarquez que c'était pas faute d'essayer...

J'avoue que je ne pouvais pas m'empêcher de sourire à chacune de ses tentatives tellement c'était flagrant!

----C'était ? il y a déjà quelques années; j'habitais dans la région parisienne. En lisant le journal je tombe sur une annonce dans laquelle un couple vendait son Setter Anglais. Je saute sur le téléphone et rendez vous est pris pour l'acquisition de ce chien. Ce monsieur me raconte qu'il ne chasse plus et veut se débarrasser de son chien. Discussion qui dure une bonne partie de la nuit. Au moment de l'achat ce monsieur à mon grand étonnement me dit "je ne vends plus le chien je vous le donne". J'étais le plus heureux des hommes,et aprés l'avoir remercié sans avoir oublier d'échanger nos adresses je rentre à la maison. IL s'appelait "yull" il était adorable mais fugueur. Muté dans ma province, yull à la chasse était imbattable. Je me rappelle de ces arrêts sur les faisans! de ces rapports irréprochables ! je travaillais en déplacement à cette époque et yull profitait de mon absence pour ses escapades...
----Un beau jour je rentre du travail et plus de Yull... Un jour deux jours trois jours... Aucune nouvelle, je téléphone dans tous les chenils de la région aucune trace... Je me résigne à prendre mon mal en patience et d'attendre près du téléphone... le soleil s'était caché, nous vivions tous (les enfants et moi) dans l'attente d'un miracle...
----Un beau matin un monsieur se présente à mon domicile tenant en laisse Yull qui en me voyant me saute dessus en me faisant mille salut. Ce monsieur que je ne connaissais pas m'explique qu'il a remarqué ce chien et depuis quelques jours qui trainait dans le coin en compagnie d'autre chiens.IL réussit alors à l'attrapper, et grâce à son tatouage trouve mon adresse et ramène mon bien. Nous discutons un bon moment et ce monsieur qui est également chasseur m'explique qu'il a un grand terrain et qu'il aimerait avoir un chien de chasse. Acette époque j'habitais en appartement et en ville, et travaillant en déplacement j'avais peur que Yull s"en aille à nouveau et se faire renverser.----
-----Je regarde cet inconnu et je lui dit: EH bien monsieur je vous le donne !!! A une condition !!!! de temps en temps qu'on aille lui rendre visite !!! cet inconnu accepte ma proposition et nous échangeons nos coordonnés .... Les aprés midi pendant les vacances on allait rendre visite à Yull et petit à petit cet inconnu est devenu MON AMI... Aujourd'hui je suis son TEMOIN DE MARIAGE... Yull aujourd'hui n'est plus à mes côtés mais m'a fait gagner un AMI... Yull tu seras à jamais dans mon coeur!!! je devais vous raconter mon histoire!!! pour mon ami pour moi pour MONSIEUR YULL merci !!!!

Merci JOËl Jolie histoire...de chien et d'amitié..
c'est un joli témoignage

de nous faire partager cette belle histoire

Voilà un sujet qui mérite de remonter des profondeurs du forum
racontez nous ...vos plus beaux moments à la chasse ou entrainements...
D'autant que ça va de pair avec un projet qui est en cours pour condenser toutes les belles histoires de la BBcie...
Alors un petit effort

Des moments forts, des souvenirs ?

Ah c'était... il y a bien lontemps. Sorties à la chasse, à l'entraînement se sont succédées, les compagnons aussi et chacun avec ses faits d'armes ! mais il en est un et une qui ce jour là avaient décidé de jouer à qui perd gagne.

Sortie à la bécasse dans mes montagnes où le buis pimentait chaque parcours de part sa densité. Difficultés à trouver le chien, à se placer, à tirer....... et toujours des jurons qui accompagnaient chaque loupés.

Cette matinée ne fit pas exception à la règle, par 7 fois mon sacré Gin su retrouver sa bécasse, par 7 fois j'avais essayé de me trouver des excuses pour répondre au regard lancé par mon compagnon, impossible à tirer enfin presque, 1 seule fois j'avais pu lacher un coup...histoire de..faire bonne figure.

Pour la 8 ème fois Gin réussisait encore à bloquer cette roublarde et cette fois ci presque à découvert....inespéré ! Arrivé à 15 m de GIn il me semble que la situation serait meilleure face à lui... demi tour et encerclement pour me retrouver face à Gin toujours tendu...... 20 m.., 15 m.., 10 m.... Oh non je la vois !!!! Oiseau vu, tir foutu..........

Analyse de la situation, Gin ne peut la voir elle est derrière une souche et 5 branches de noisetier, par contre à mon avis je ne vois qu'une possibilité pour elle: la fuite à la verticale et je pense que cette fois ci.....c'est tout bon...bien que pour assurer il me vient une idée: je pourrais changer de ..cartouche !!!! oui, oui vous avez bien lu, mettre une cartouche de disperseur pour cette fois ci faire mouche tellement je suis adroit.

Avec précaution, doucement j'ouvre mon fusil et sans manquer mon coup je change de cartouche... et elle n'a pas bougé....... maintenant il ne me reste plus qu'a marcher sur elle pour la faire monter en chandelle et l'ajuster.

Un pas, 2 pas et au 3ème ????? elle a giclé non pas en chandelle mais par un trou de souris eu travers des noisetiers !!!! et j'en suis tout penaud pour ne pas dire autre chose.

Par contre il en est un qui n'a rien perdu de la scène, Gin toujours sage à l'envol et au feu (bien que feu il n'y avait guère) avait décidé de se la jouer perso et de prendre les choses en main: en une fraction de seconde il n'y avait plus ni bécasse ni chien seulement une cloche qui s'éloignait, un coup de sifflet, tout s'arrête...silence.

Course vers le dernier tintement de cloche lorsque j'aperçois Gin au down ou dans une posture similaire, point tendu mais un regard lumineux presque fier de lui ? je l'observe au fur et à mesure que je m'approche, son regard est toujours aussi expressif et c'est alors que j'aperçois au travers de ses pattes un bout d'aile: sa bécasse.

Après examen de cette futée je m'aperçois que mon seul coup de fusil avait en fait "égratigner" le bout d'une aile.....

Elle avait perdu mais gagné le droit d'être naturalisée et de trôner dans une niche sur la cheminée avec la cloche de Gin.... Ah. c'était il y a bien longtemps.

magnifique récit Bouchiret

Tres jolie histoire

dans tout les bons moments que j'ai passé depuis deux ans avec les setters , il y a quelques journées qui me revienne en tête.

un des tres bons moments fut la becasse arrétée par Tangor que j'ai pu mettre au tableau en compagnie d'Hervé .un grand moment !!!

la premiere becasse du Morvan avec Lionel , où je pars a l'opposé de la chienne pour la servir ( sur l'echo du beeper ) . pour enfin etre remis dans le droit chemin par Lionel et trouver Angie a l'arret sous un sapin , la tête tournée vers le côté , la becasse au sol derriere le tronc . une image qui restera longtemps gravé dans ma memoire . merci Lionel !!!!

une autre journée avec les miens maintenant . apres une matinée extra d'alaska ( comme il m'en a rarement fait ) avec un coq levé 3 fois pour etre enfin arrété par lui et magnifiquement manqué par moi .les 2 premieres fois le coq n'a laissé aucune chance au chien en prenant son envol dès la prise d'emantion . mais quel bonheur de le voir remonter l'emanation , le corps a ras du sol , le nez relevé avec une intensité dans le regard qui m'en fait encore sourire rien que d'y repenser .et enfin c'est le point , apres l'avoir amener a bon vent , le chien est a l'arret au-dessus de moi . je me place , le fait couler a la voix (miracle ce jour là tout marche comme sur des roulettes ) sauf que je ne suis pas a la hauteur de son boulot , je rage et peste apres moi mais impossible de le relever .
c'est bien tristement que se termine la matinée , malgré un bon point d'alaska sur une poule que je sers enfin correctement . mais il me semble que le coq a accusé legerement le coup sur le deuxieme tir , et laissé un oiseau soufrir apres tant de plaisir ça gonfle mechament .
l'apres-midi , je decide de sortir Cash pour sa premiere sortie avec le fusil . apres 2 oiseaux pas trop mal negocier , et un premier rapport pour le jeunot . je suis enchanté de la journée d'autant que je partage les premiers moments de chasse de Cash avec mon fils de 6 ans . on est tout les 3 ravis de ces moments et c'est sur le chemin du retour , que Cash se met a l'arret au milieu du chemin , il avance un peu et repart . je rappele , et le fait repasser a bon vent . de nouveau arret , j'aperçois un coq sous les ronces . une saute de vent et Cash n'a plus l'odeur dans le nez . on reprends un peu plus haut , et de nouveau arret , bien tendu . je fais couler , decidé a faire voler sans tirer . le chien coule et se bloque refusant de faire un pas de plus . j'envoie mon fils faire voler , il passe devant Cash qui ne bouge toujours pas . le coq s'envole , et là je vois une patte qui pends desssous , le temps de refermer le fusil et il tombe . c'etait le faisan d'Alaska , un superbe coq americain , qui etait a 30 m de là où je l'avais perdu de vue le matin . une super journée , le petit a terminé en beauté ce qu'Alaska avait commencé . et cet oiseau n'a pas agoniser des jours grace au petiot . cette journée aussi restera longtemps dans un petit coin de ma tête .

j'espère qu'il y aura encore beaucoup d'autres moments inoubliables .

je me rapelle moi aussi de la premiere scene emouvante avec mon Chiper, j'étais invité dans l'ile de ré (quel bohneur) et mon chien m'en a arétté un le corps dans un jar d'eau douce et il y avait seulement la tete et sa queue qui ressortait de l'eau lorsque sa tete était a deux metres d'une rose des mers le lapin partit le long du jar puis fit une jolie galipete seul les setters en sont capables