Avant-hier, j'emprunte - en tenue de ville - un chemin en bordure du gave pour promener le loulou. Ce dernier entre dans le saliga et à 10m bloque. J'y vais, évitant plus ou moins les ronces et la gadoue... Flafla... Une fois suffit. Je rappelle Am'ka (pas facile) et on la laisse.
Hier, places chaudes mais personne. Pourtant, j'avais le reflex et les grosses chaussures. C'est toujours comme ça !
Ce matin, pluie légère mais le pépère est excité comme une puce. On va faire un tour sur un chemin pas trop boueux.

Même scénario: loulou entre sous-bois et bloque au bord du ruisseau. Je le rejoins (toujours en tenue de pékin), téléphone à la main... Il coule, coule... Un beau travail sur un oiseau qui avait dû bouger pas mal et qui , sur un dernier arrêt et à mon approche (scabreuse pour mes baskets), va jaillir d'un tas de ronces.
Au retour, je tombe sur mon voisin qui, lui, a fait une grosse sortie de trois heures avec son setter. 4 oiseaux levés, en bordures, et très piéteurs.
C'est peut-être mieux qu'on ait fermé !!!



Mon bonheur? le regard de mes setters...
